“Il n’est pays que de l’enfance...”

A signaler cet été en Aquitaine pour le centenaire de la naissance de Roland Barthes :

*Lumiè*res de Roland Barthes, double-projet d’expositions qui se sont déroulées au centre d’art image/imatge à Orthez (64) et au Frac Aquitaine. Ceux qui n’ont pu les visiter peuvent :

se reporter à la galerie d’images et aux commentaires très détaillés ici.
lire le livre paru aux éditions Max Milo Roland Barthes Contemporain de Magali Nachtergael, qui en était la commissaire.
ou se contenter de découvrir le très beau texte « Lumière du sud-ouest » dont un extrait était affiché à l’occasion de l’exposition « Il n’est pays que de l’enfance » à Bayonne en septembre.

Entretien avec Clémentine Fort

Je vais donc faire avec ce que j’ai autour de moi, avec les restes du naufrage.

Partager le regard

L’exposition accueillie actuellement au musée, sert à la fois la matérialité des œuvres présentées, les idées qui les sous-tendent et les différents types de points de vue portés sur elles.

L’Espace des arts en plein centre de la ville de Pau

À Image/Imatge et au Bel Ordinaire

Peintures de papier (suite)

La texture, la transparence des « marques d’eau » et des vides parlant d’eux-mêmes, le papier vierge part seul à la conquête du regard.

Paysage-fiction acces)s( 2018

Le présent de la création est autant un surgissement qu’une somme de souvenirs ou qu’un héritage.

“Campana” spectacle de cirque métaphysique…

Et l’émotion ressentie dépasse de loin le simple divertissement lorsqu’une lourde cloche en bronze, hissée tout en haut du chapiteau, se met à sonner une fête carillonnée hors du temps.

Catherine Melin

Un collectif à l’œuvre

Et il y a aussi du plaisir et même de la jubilation à cela : partager le sensible et s’entendre sur des goûts et des couleurs…

“Au bout des phrases il y a euh…”

Déconstruire plutôt que démolir

L’entrée de la parcelle donne sur un chantier-atelier et, de l’autre côté d’une petite cour, sur une maison largement ouverte et lumineuse. La surprise est totale.

Concert des Magnetix le 5 octobre 2017 au Hédas

Du naturel à l’architectural

Les œuvres présentées, réalisées pour l’occasion, semblent avoir trouvé avec l’espace d’exposition une sorte d’intimité déjouant la frontière habituelle entre le dehors et le dedans.

Ode au bancal

Ces insidieuses interventions artistiques sont des invitations au déconditionnement en douceur de notre rapport à l’objet et à sa fonction. Les objets sont « empêchés » de fonctionner et détournés de leur fonction par des adjonctions discrètes mais non définitives.

YÖP

À l’étroit dans la forme imposée de la boîte blanche de la galerie ou de la salle d’exposition, les artistes cherchent de nouveaux lieux à investir, de nouvelles formes à produire et de nouvelles solidarités dans le secteur de la diffusion et de la médiation de l’art contemporain.

Voyage en Chine et retour

Soudain, elle fait le lien avec la vidéo de l’entrée dans laquelle évolue ce personnage mystérieux qui règne sur un champ de ruines, et comprend que les jeunes artistes voyageurs avaient tenté, sans y parvenir, de cerner cette ville gigantesque en construction et ce qui s’y passait.

Il est possible de voir en fermant les yeux

Le mot écoute, dans notre langue, évoque l’accueil de l’autre et de sa différence. Selon la définition du dictionnaire, écouter signifie être attentif à un bruit, à un son, à de la musique, etc. , les entendre volontairement. Mais le même mot signifie aussi prêter attention à ce que quelqu’un dit pour l’entendre et le comprendre.

Visite "augmentée"

Des étudiants du pôle Nouveaux Médias de l’ÉSA Pyrénées ont conçu une application faisant office de cartel pour chacune des œuvres exposées lors de la dernière exposition d’accès)s( cultures électroniques. L’enjeu de cette création a été de poser les bases d’une réflexion sur le cartel et son devenir dans le cadre d’une exposition.

Rain de Anne Teresa de Keersmaeker

Impossible de rester indifférent à cette danse écrite pour le souffle vital, cet éloge de la diversité qui concerne aussi ceux qui ne dansent pas, mais qui adhèrent à cet élan. Ils ont alors envie de croire que l’harmonie entre les êtres qui ne se ressemblent pas est possible, et en assistant à ce spectacle, ils y participent.

La poésie a du corps comme le vin et le texte est une matière vivante. Lorsqu’elle est rendue spectaculaire - au sens de adressée à des spectateurs - il devient facile d’accorder une attention particulière au son des mots. Au lieu de s’enfouir dans la page, on est projeté dans l’espace du moment présent.

Ce jour-là

l’occasion est offerte de comprendre comment des signes intelligibles pour tous peuvent émerger d’un ensemble de formes

Résonance dans un théâtre habité

Au cours de ces deux soirées, danse et histoire de l’art sont entrées en résonance, créant sur scène une vraie surprise : celle d’une histoire des formes capable de s’incarner.

Une polyphonie à une seule voix

D’égale à égal

Le jeudi 4 février 2016, une journée d’étude « Artistes-femmes : les formes de l’engagement », la première d’un cycle de trois, s’est tenue à l’UPPA

Regarder, c’est inventer l’espace sans lequel les œuvres ne pourraient même pas apparaître

Les peintures de papier

( …) à la lisière entre « maîtrise et laisser faire » pour accompagner la naissance de ce qui sera ou non une peinture de papier

Art de faire pour déjouer les idées reçues

« On retrouve à toutes les étapes de cette démarche plastique, l’intention de délier le spectateur des facilités de penser qui l’entravent et l’empêchent de voir la complexité du monde »

Encore et en corps

La poésie nous fait gagner du temps (bis)

Il faudrait pouvoir parler gravement des choses légères ou légèrement des choses graves…

Transformer

… comme si elle se méfiait des tâches et des conclusions hâtives

Fablab

“Il n’est pays que de l’enfance...”

“INSIDE OUT” à Pau

Des collégiens manouches en Juin dernier ont participé au projet d’art mondial et participatif