Claire Dantzer arrive en repérage en 2020, en plein confinement, avec en tête le souvenir du Boulevard des Pyrénées et de la vue qu’il offre sur cette chaîne de sommets. Elle parle alors de dièdres, de chambres anéchoïques, de murs d’escalades, de mise en scène et de volumes, de renversement des murs de l’espace d’exposition, de perte de repères, de déséquilibre… Elle regarde des documentaires sur l’architecture brutaliste et cite Raphaël Zarka.