Tanguy travaille les matériaux, les installe, et ne s’arrête jamais. Ses constructions se terminent de fait car il est l’heure d’ouvrir une exposition au public. Il est dans un flux de travail continu à l’image d’un monde végétal avec ses ramifications et son mouvement perpétuel, comme un paysage qui ne serait pas regardé de manière contemplative mais en métamorphose continue.
