À partir du moment où on est en montage, on travaille avec le réel, le réel des œuvres, leur matière, leur texture, la façon dont elles se reflètent ou pas, le fait qu’elles aient besoin de lumière, le fait d’articuler un espace avec un autre espace… comment les pièces se répondent sans se nuire et sans créer un sens qu’on n’a pas voulu, mais en amenant des relations entre nous.
Ce n’était pas facile à construire, mais c’est quelque chose qui fonctionne dans cette expo. Pour cet accrochage, on a vraiment travaillé en présence des œuvres. Et le résultat est mieux que ce qu’on avait imaginé et maquetté.
- David Coste - janv. 21