Ça y est, c’est la fin.

Le moment où tout se lie, où les fragments éparpillés se rejoignent et s’assemblent. Le moment où les formes et les mots qui étaient posés les uns à coté des autres s’emboîtent et trouvent leur place naturellement.

Le moment où, l’évocation de la relation entre Le Corbusier et Charlotte Perriand parle bien de la domination des hommes sur les femmes. Le moment où le corps morcelé de la femme devient l’image des dégâts qu’engendre cette prise de pouvoir. Le moment où ce qui est caché prend l’apparence de bouts de corps qui remontent à la surface. Le moment où l’eau se retire et laisse apparaître les épaves.

Le moment où il s’agit de ne pas fermer les yeux sur ce qu’on voit, sur ce qui est. Le moment où les apparences tombent et le regard reste droit. Regarder le soleil dans les yeux. C’est encore et toujours le moment.

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